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Un film de Martin Campbell
Pays d'origine Etats-Unis
Durée 2h05
Sortie en France 21/02/2001

Avec
Peter Garrett (Chris O'Donnell)
Montgomery Wick (Scott Glenn)
Elliot Vaughn (Bill Paxton)
Annie Garrett (Robin Tunney)

Scénario Terry HAYES et Robert KING D’après une histoire de Robert KING
Musique James Newton HOWARD
Production Lloyd PHILIPS, Robert KING / Columbia
Distribution Columbia TriStar Film





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Cette oeuvre a été notée 2

Vertical Limit
 
hémoglobine en bobine…
 

02/03/2001
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Blockbuster en vue.
Vertical Limit ressemble a priori à un film d'action chèrement bon marché, panoplie de clichés et d'effets à l'appui. Martin Campbell (Goldeneye, Le Masque de Zorro), un habitué des grosses cylindrées, est aux commandes. Chris O'Donnell et Scott Glenn, en sont les vedettes, on s'attend donc plutôt au pire qu'au meilleur.

La trame du film, prometteuse, est gâchée par des éléments romanesques purement inutiles. Le désir de vengeance du vieux baroudeur vis-à-vis de l'alpiniste cupide , la tension entre le Peter et sa sœur Annie (Peter à coupé la corde qui les reliait lui et sa sœur à son père lors d'une escalade qui s'est terminée en tragédie et dont eux seuls ont réchappé), sans compter le duo de rigolos que l'on trouve habituellement dans tout blockbuster qui se respecte. Quel dommage de ne pas avoir exploité la réalité des sommets himalayens. Et comment ne pas penser à la tragédie qui s'est produite en 1996 sur l'Everest (pour en, savoir plus, me contacter), quand par ailleurs Ed Viesturs (guide himalayen) fait une apparition dans le film (y jouant son propre rôle) ? Comment n'en avoir retiré que le superficiel en négligeant le plus important : la relation homme/montagne ?

La trame, donc
Un business man alpiniste tente l'ascension du K2 avec le concours (rémunéré) de guides chevronnés, dont une jeune femme talentueuse, Annie Garett, fille et sœur d'alpiniste. Evidemment, l'expédition tourne mal, une tempête éclate et seuls le client, Annie, et un le guide responsable de l'ascension en sortent (provisoirement) vivants, coincés dans une crevasse. Le compte à rebours est lancé, et les secours (6 individus dépêchés par Peter et appâtés par un demi-million de dollars) ont quelques 36 heures pour les récupérer. |Sauvé par une mise en scène efficace !`

Même si l'on regrette la désespérante médiocrité du scénario, il faut bien reconnaître que Martin Campbell sait admirablement jouer avec l'hémoglobine du spectateur. La montagne reprend presque le rôle qui lui revient de droit : le premier. Elle se montre maîtresse des hommes, monstrueuse, grandiose.

Les prises de vue sont spectaculaires, la vue souvent magnifique. Le timing est redoutablement efficace, les rebondissements se succèdent, sans temps mort. Et Chris O'Donnell est crédible !

Demi-déception, donc. Mais relative bonne surprise par rapport aux a priori que l'on peut nourrir à l'égard du film.



.::Sophie
   
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