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Un film de Paul Anderson
Pays d'origine USA
Durée 1h40
Sortie en France 27/04/2004

Avec
Lance Henriksen (Charles Bishop Weyland)
Sanaa Lathan (Alexa Woods)
Raoul Bova (Sebastian de Rosa)
Ewen Bremner (Graeme Miller)
Colin Salmon (Maxwell Statford)
Agathe de La Boulaye (Adèle Rousseau)
Tommy Flanagan (Mark Werheiden)
Sam Troughton (Thomas Parks)
Adrian Bouchet (Sven)
Carsten Norgaard (Rusten Quinn)

Scénario Paul Anderson et Shane Salerno
Musique Harald Kloser
Production 20 th century fox
Distribution UFD





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Cette oeuvre a été notée 4

Alien Vs Predator
 
2 montres pour le même film
 

31/10/2004
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Ah là là, je l’attendais depuis longtemps celui-ci. Mais alors que je prenais cela pour une bonne occasion de rassembler ces deux monstres sacrés de la SF avec un scénario empreint d’autodérision, je suis tombé sur une tentative de produire un film sérieux avec une vraie intrigue qui est sensée tenir debout. Une tentative… avortée ! Mais ça reste un chouette navet divertissant et avec des effets spéciaux corrects.

On peut tout réussir dans la vie<.b>

Ils ont même récupéré Bishop pour interpréter le classique vieux milliardaire qui finance un projet scientifique privé démesuré, et qui recrute une équipe avec les meilleurs spécialistes mondiaux dans plein de domaines. D’ailleurs dans ce cadre, le film est plutôt optimiste puisque le chercheur en biochimie n’est autre que le Spud héroïnomane et looser (vous vous souvenez celui qui repeint de chiasse les parents de sa copine au petit déj dominical) de Trainspotting. Comme quoi, on peut toujours réussir dans la vie.

A la stargate

L’histoire c’est un peu à la StarGate, c’est-à-dire que les Prédators étaient un peu considérés comme des dieux par les humains dans les temps immémoriaux. Et ce sont eux qui nous ont appris à construire des temples notamment. Ils utilisaient les hommes pour porter en eux des bestioles parasites qu’ils chassaient comme rite d’initiation pour leurs ados. Ces bestioles ce sont bien sûr des aliens de la mort qui tue. Tous les cents ans, ils viennent donc sur la Terre pour infecter quelques hommes, et puis faire du braconnage à l’alien, et puis zou, ils repartent.

Une ile perdu

Ainsi ils attirent des hommes sur une île perdue de l’antarctique, l’île Bouvet, qui est inhabitée (mais a comme code internet : .bv, je sais ça n’a rien à voir avec le schmilblick mais j’ai trouvé ça marrant qu’une île déserte ait un code internet) en émettant une radiation thermique qui est détectée par satellite. On découvre alors qu’il s’agit d’une sorte de pyramide, d’une archéologie curieusement syncrétique puisqu’elle a les attributs des aztèques, égyptiens et khmers. Bishop qui est (avant d’avoir été l’androïde d’Alien 2) un milliardaire, un peu phtisique sur les bords, décide d’envoyer une équipe pour s’emparer de cette découverte archéologique majeure.

Une femme à couilles

L’héroïne est une jolie black avec des couilles grosses comme asse qui est guide de montagne, et puis on a ensuite une belle brochette de personnages : le beau gosse archéologue italien spécialiste des aztèques, la goudou militaire (qui est très très contente que la black fasse finalement partie de l’expédition), le chercheur en bio écossais et maladroit à l’accent improbable, le mercenaire endurci, etc. Enfin, on s’en fout puisqu’ils se font tous bouffer au fur et à mesure. Seulement, les aliens sont coriaces et les Prédators finissent par avoir quelques problèmes d’intendance. C’est alors qu’une merveilleuse proposition philosophique vient éveiller les consciences : « l’ennemi de mon ennemi est-il mon ami ? ».

Un gant de boxe anti alien

Ce qui est très choquant ce sont surtout les inepties scientifiques dont ils auraient pu aisément se passer. Vraiment ils n’avait pas besoin d’imaginer un tel mélange de civilisation… et surtout pas de nous montrer des idéogrammes en disant que « Dingueuuuuuh le premier est en aztèque, le second est un hiéroglyphes et le troisième un symbole khmer, c’est trop fado à comprendre et déchiffrer ! »… et puis se mettre à traduire tout ce qu’il y avait sur les murs comme si c’était trop fastoche et limpide. Et encore, j’en passe de biens meilleures (comme supposer que trois cadrans marquent le jour, le mois et l’année en aztèque, ou que la pyramide se reconfigure toutes les dix minutes). Rhooo si, il y a aussi tout de même l’armure de la mort, que confectionne le Prédator pour l’héroïne, avec un gant de boxe en tête d’alien, et une lance en queue de bestiole. Rien que pour ça, il faut aller le voir.

Mais cela reste marrant et bien fait, avec de bons moments d’action et de gentille frousse. Les aliens sont horribles à souhait et les Prédators un peu patauds, mais bien sympathiques dans le fond, malgré leur yeux en trous de pine et leurs mandibules prognathes.


.::Matoo
   
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