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Un film de Ira Sachs
Durée 1h47
Sortie en France 07/12/2005

Avec
Rip Torn (Alan James)
Dina Korzun (Laura)
Darren E. Burrows (Michael)
Stuart Greer (Tom Skolnick)
Jenny o'Hara (Celia)
Red West (Duigan)
Jerry Chipman (Shel)
Andrew Handerson (Sam James)
Charly Kayle (Karin)
Mary Jean McAdams (Gina)

Scénario Ira Sachs et Michael Rohatyn
Distribution Ad Vitam





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Cette oeuvre a été notée 3

Forty shades of blue
 
Il manque quelque chose
 

12/01/2006
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J’avais eu de très bons échos de ce film, en plus d’un certain plébiscite dans la presse et les festivals, mais j’en ressors avec une impression mitigée. En effet, autant j’ai apprécié son caractère indépendant qui fait la qualité des films américains de cette veine, autant j’ai été déconcerté par l’histoire et les dialogues.

Menphis USA

Nous sommes à Memphis, la ville mythique de la soul qui commence à prendre quelques rides, et nous y suivons un producteur célèbre assez âgé. Ce dernier, Alan (Rip Torn, assez connu pour pas mal de seconds rôles, dont le boss dans MIB) a ramené de Russie une jeune femme, Laura (Dina Korzun, grande star en Russie), il y a plusieurs années. Ils ont un enfant de trois ans, mais Rip Torn a aussi un fils adulte qui vient leur rendre visite, le charmant Michael (Darren E. Burrow). Michael a une femme qui vient de tomber enceinte, alors qu’ils comptaient plus ou moins se séparer, il vient donc chez son père pour faire le point.

Rapidement, une complicité ambiguë se noue entre Laura et Michael, une passion à laquelle ils cèdent et qui sème le trouble dans un étrange ménage. En effet, Laura (très belle et très jeune) semble se consacrer à son fils et a beaucoup de reconnaissance quant à sa présence aux US, tandis qu’Alan est un fêtard qui n’hésite pas à aller voir ailleurs.

Un peu long à la mise en place

J’ai bien aimé la manière dont le film se met en place, même si c’est un peu long. Cette approche plutôt lente et posée permet de bien cerner les personnages, et de rentrer dans un univers assez singulier puisque tout parait dater des années 70, jusqu’à cette lumière verdâtre des vieux films. Mais ensuite, le rythme ne s’accélère pas, et le film en devient lénifiant avec des intrigues qui pataugent.
Pourtant, je peux être sensible à des personnages peu expressifs ou des dialogues laconiques, mais là j’ai trouvé que c’était de l’indépendant pour faire de l’indépendant. J’y ai plus vu de la préciosité que du cinéma d’auteur dans cette intrigue. Du coup j’ai été déçu, car j’attendais un peu plus de substance, d’émotions ou de teneur à cette histoire, qui commence assez bien.

Comédiens excellents

Les comédiens sont excellents, et la réalisation tient la route, mais il manque vraiment quelque chose au niveau du scénario. Du coup c’est le genre d’opinion très personnelle (j’aime/j’aime pas) qui fait que d’autres ont certainement été beaucoup plus sensibles que moi à cette œuvre.

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