Un peu de fraîcheur, après l'été bouthanais. Dans Alger la Blanche, avec Goucem, une jeune femme de 27 ans qui vit dans une pension avec sa mère, sa très proche amie Fifi sur le palier, et qui vit dans une ville insouciante, où être heureuse est ce qui compte après tout.
Va-t-elle réussir à convaincre l'homme marié médecin dont elle est la maîtresse de l'épouser? Sa mère va-t-elle sauver le Copa Cabana, où elle était chanteuse dans le bon temps? Et le fils du médecin, homo d'une vingtaine d'années, veut être heureux lui aussi.
Viva Laldjérie
Ce film, malgré ses passages parfois un peu tristes et angoissants, cherche aussi le bonheur, pour le transmettre au spectateur. Ça marche, il insuffle un je-ne-sais-quoi qui met le sourire aux lèvres, et qui donne envie d'aller là-bas, dans cette ville pas toujours très propre, pas toujours très sûre, mais qui vit et qui charme. Et qui m'a donné envie d'y aller en fait. Viva Laldjérie!