Un film de Frank Oz
Pays d'origine USA
Durée 1h33
Sortie en France 07/07/2004

Avec
Nicole Kidman (Joanna Eberhart)
Matthew Broderick (Walter Kresby)
Bette Midler (Bobbie Markowitz)
Jon Lovitz (Dave Markowitz)
Christopher Walken (Mike Wellington)
Glenn Close (Claire Wellington)
David Marshall Grant (Jerry Harmon)
Roger Bart (Roger Bannister)

Scénario Paul Rudnick
Musique David Arnold et David Mansflied
Production Paramount Pictures
Distribution United International Pictures (U.I.P.)




 

Et l'homme créa la femme
(The Stepford wives)
 
Sois belle et fais des cookies
 

20/07/2004
Dans Et l'homme créa la Femme, la femme est un personnage envoûtant qui fait tourner la tête des hommes et ces derniers se laissent emporter malgré eux. Dans Et L'Homme créa la Femme, tout va bien, les femmes sont reprises en main et remises à la maison pour s'occuper de la cuisine, du ménage, des enfants, avec quelques sorties entre amis pour discuter décoration et fête de village.
Quand Joanna perd son job d'executive woman au sein d'une chaîne télé américaine, c'est la grosse dépression nerveuse. Son mari décide alors d'installer sa famille dans un village rassurant, Stepford, dans le Connecticut, pour que sa femme se repose un peu.
Mais l'ambiance très femme-au-foyer ne lui plaît pas tant que ça. Elle arrive quand même à se lier d'amitié avec les deux autres extraterrestres du village: une écrivain baba-cool et un gay extraverti. Et eux trois décident de savoir ce qu'il est advenu de Sarah, une blondasse soumise parmi d'autres, qui s'est effondrée en pleine fête de village, en émettant des étincelles lorsque Mike, le chef de village gourou macho Mike, lui a prodigué les premiers secours. Début d'une enquête à la Jessica Fletcher...

Une belle brochette

Un film avec Nicole Kidman, Matthew Broderick et Glenn Close, ça doit au minimum être un bon film. Là, on se marre assez souvent quand même, on admire les talents de Kidman en femme d'affaires apprenant sa démission. Mais sinon, euh, c'est un peu plat. Marrant, mais plat. Et une incohérence à la fin du film, pour moi (sélectionner le texte suivant avec la souris pour le faire apparaître): pourquoi, si les femmes sont des robots au point de ne même plus sentir la douleur d'une main qui brûle, reviennent-elle à leur état normal rien que par la destruction de leur puces implantées? Les mains aussi redeviennent "organiques" quand on détruit les puces???.

Disons que j'ai passé un bon moment, mais je m'attendais à mieux, au regard de l'affiche. Dommage. Pour le reste, les stéréotypes sont amusants, la musique pas mal, et en plus, on se dit que certains coins des États-Unis doivent réellement ressembler à Stepford.

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