Un film de Andrew Adamson
Pays d'origine Etats-Unis
Durée 2h20
Sortie en France 21/12/2005

Avec
Georgie Henley (Lucy)
Skandar Keynes (Edmund)
Anna Popplewell (Susan)
William Moseley (Peter)
Tilda Swinton (Jadis, la Reine Blanche)
James McAvoy (Mr. Tumnus, le faune)
Jim Broadbent (Le professeur Kirke)
Ray Winstone (Voix VO de Mr Castor)
Dawn French (Voix VO de Mme Castor)
Liam Neeson (Voix VO de Aslan le Lion)

Scénario Ann Peacock & Andrew Adamson & Christopher Markus & Stephen McFeely
Musique Harry Gregson-Williams
Production Andrew Adamson & Philip Steuer
Distribution Buena Vista International

Sur le Web
Site officiel
Le monde de Narnia

D'après l'oeuvre de:
C.S. Lewis



 

Le Monde de Narnia : chapitre 1 - le lion, la sorcière blanche et
(The Chronicles of Narnia : The Lion, the Witch and the Wardrobe)
 
Interdit au plus de 7 ans
 

30/12/2005
Il était une fois quatre enfants qui allaient découvrir un monde magique dans lequel se déroule une lutte terrible entre le monde vivant et le monde glacé : entre le Bien et le Mal. La fratrie résistera-t-elle aux tentations et aux rancunes ?

D’une guerre à l’autre

Seconde guerre mondiale. Londres. Face aux bombardements de plus en plus fréquents de la Wermacht, sa Gracieuse Majesté décide de l’évacuation des enfants vers la campagne. Quatre bambins sont recueillis par un professeur un peu loufoque, habitant une vaste demeure, régentée par une gouvernante aussi rigide que peu avenante. Et comme toute demeure mystérieuse celle-ci cache un immense secret : la porte vers un monde merveilleux : bienvenue dans le monde de Narnia.

Combats ancestraux pour enfants

Ne revenons pas sur l’histoire : une thématique simple, un scénario cousu de fil blanc et des moyens financiers conséquents. À priori du grand spectacle pour se détendre sans se prendre la tête. En dépit d’une certaine sympathie, le film pêche sur une de ses dimensions les plus essentielle : les acteurs n’y croient pas. Que ce soit la reine, le professeur ou nos bambins en culottes courtes, ils ne jouent pas. Ils gesticulent et débitent un texte appris par coeur. Une mention spéciale cependant pour la petite Lucy qui se distingue du lot.

Au final, un film à grand spectacle distrayant, un peu mou, qui aurait pu se frayer un chemin dans la liste des films à voir si les protagonistes avaient été davantage incarnés.


.::Jean
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